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L'industrie électrique bulletin

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Les Québécois est de plus en plus présents au sein de L’industrie électrique

Eric CloutierUn deuxième visage québécois et francophone a officiellement fait son apparition, le 1er août, au sein du magazine L’industrie électrique, et cela en l’espace d’un peu plus de trois mois.

Il nous fait plaisir d'annoncer la nomination d'Eric Perrault au poste de nouveau directeur de compte pour le Québec. Eric possède une vaste expérience en vente dans les secteurs de l'édition et des médias et il constitue un ajout de taille pour l'équipe de L'industrie électrique. Veuillez, s.v.p., contacter Eric pour vos besoins publicitaires à eperrault@annexweb.com.

Eric Perrault

Eric Perrault, nouveau directeur de compte du magazine L’industrie électrique pour le Québec.

L’arrivée de M. Perrault, quelques moins à peine après la nomination de l‘auteur de ces lignes au poste de rédacteur en chef de ce magazine témoigne positivement de la volonté du groupe de presse Annex Business Media d’accroître et de consolider ses assises francophones dans l’industrie de l’électricité au Québec, laquelle ne pourra que s’en réjouir.

Pour me faire part de vos commentaires et opinions, n'hésitez pas à m'écrire à : ecloutier@annexweb.com. Bonne lecture et au plaisir!




À venir dans la version imprimée

• La productivité de chantier
• L'éclairage
• Et la gamme des sujets habituels dont les acteurs de l'industrie parleront sous peu : les nouveaux produits, nouvelles de l'industrie et un calendrier, des événements, des formations où aller et des gens à rencontrer.


EV-VÉ Tradeshow + Conference + Exposition

NOUVELLES DE L'INDUSTRIE

Magpie est une centrale hydroélectrique officiellement acquise le 25 juillet par Innergex énergie renouvelable.

Innergex complète l’acquisition de Magpie, une centrale hydroélectrique de 40,6 mégawatts au Québec

Innergex énergie renouvelable, un chef de file canadien de l’industrie de l’énergie renouvelable en activité depuis 1990, a annoncé, le 25 juillet, qu’elle avait complété l’acquisition au groupe de société Hydroméga (« Hydroméga ») de la centrale hydroélectrique au fil de l’eau Magpie, située au Québec.

Magpie est une centrale hydroélectrique au fil de l’eau de 40,6 mégawatts (MW) située sur des terres publiques dans la Municipalité Régionale de Comté de Minganie, dans le nord-est du Québec. Cette centrale a été mise en service en 2007 et toute l’électricité qu’elle produit fait l’objet d’un contrat d’achat d’électricité à prix fixe de 25 ans avec Hydro-Québec, dont le prix est augmenté annuellement de 1 %. La production annuelle moyenne de Magpie atteint environ 185 000 MWh, ce qui s’avère suffisant pour alimenter près de 11 000 foyers québécois chaque année.

Selon Innergex, l’ajout de cette installation augmente de 7 % à 617 MW la puissance installée nette de la Société, et de presque 8 % à 2 592 MWh sa production annuelle moyenne consolidée. Magpie devrait générer des revenus annualisés de l’ordre de 10,6 M$ en 2013 (y compris les paiements reçus en vertu du programme écoÉNERGIE) et un BAIIA ajusté de l’ordre de 8,2 M$.

«Nous sommes très heureux de l’acquisition de Magpie, qui renforce notre présence dans l’hydro avec une installation neuve et d'une longue durée de vie, et qui diversifie davantage nos activités hydroélectriques», déclare M. Michel Letellier, président et chef de la direction de la Société.

« Nous avons hâte de développer nos relations avec la Municipalité Régionale de Comté de Minganie, notre nouveau partenaire », ajoute M. Letellier.

La Société s’est portée acquéreur de 99,999 % des parts ordinaires dans la centrale. Cependant, la Municipalité régionale de comté (MRC) de Minganie détient 30 % des parts votantes, ainsi qu’une débenture convertible d’une valeur nominale de 3,0 M$, qui comporte un paiement d’intérêt annuel d’environ 465 000 $, et une débenture d’une valeur nominale de 2,0 M$ ne portant pas intérêt et remboursable sur les cinq prochaines années.

«La débenture convertible confère à la municipalité une participation de 30 % dans la centrale lors de la conversion de cette débenture le 1er janvier 2025; lorsque la débenture ne portant pas intérêt aura été remboursée, la Société aura l’option de forcer la conversion de la débenture en tout temps avant cette date.

La Société a payé le coût d’achat final de 28,6 M$ en espèces, et prend en charge des dettes liées au projet totalisant 55,4 M$, y compris un financement sans recours de 50,4 M$ comportant des versements combinés mensuels d’environ 406 000 $ jusqu’en 2017, puis d’environ 379 000 $ jusqu’en 2031, pour un taux d’intérêt moyen fixe de 6,35 %, ainsi que les deux débentures détenues par la Municipalité Régionale de Comté de Minganie mentionnées précédemment. Ces dettes seront ajustées à leur juste valeur lors de la consolidation aux états financiers de la Société. Les flux de trésorerie nets générés par Magpie qui s'accumulent au profit de la Société depuis le 31 août 2012 sont compris dans le solde d’encaisse transféré à la Société lors de la clôture», peut-on lire dans un communiqué.

En même temps que l’annonce de l’acquisition de Magpie en juillet 2012, la Société a signé une lettre d’intention exclusive avec Hydroméga visant l’acquisition de sa participation dans plusieurs autres actifs, dont une centrale hydroélectrique de 30,5 MW au Québec, quatre projets hydroélectriques en construction d'une puissance installée totale de 22,0 MW en Ontario, et un projet hydroélectrique en développement d'une puissance installée de 10,0 MW, également en Ontario.

«La Société poursuit les négociations avec Hydroméga dans le cadre de cette lettre d’intention en vue de l’acquisition d’autres actifs, tout en tenant compte de l’impact de la récente hausse des taux d’intérêt à long terme et de la baisse du cours de l’action de la Société, afin de s’assurer que ces acquisitions soient rentables. À la lumière des conditions de marché actuelles, la Société n’a pas l’intention de faire une émission publique d’actions ordinaires en ce moment. Toujours en même temps que l’annonce de l’acquisition de Magpie en juillet 2012, la Société a signé avec Hydroméga une convention de dépôt d'une somme de 25,0 M$, portant intérêt au taux annuel de 7 % et devant servir à réduire le coût d’achat de tout actif d’Hydroméga. Ce dépôt n’a pas servi à financer l’acquisition de Magpie et demeure en place pour financer l’acquisition éventuelle d’autres actifs d’Hydroméga. La convention de dépôt contient également un droit de première offre sur, ainsi qu’une option pour, l’acquisition de la centrale de 30,5 MW au Québec», poursuit Innergex.

La compagnie ajoute que la récente hausse des taux d’intérêt à long terme a peu d’impact sur les résultats d’exploitation actuels de la Société, parce que les dettes étant liées aux projets et la majorité de sa facilité à terme de crédit rotatif portent intérêt à des taux fixes et engendrent donc des frais d’intérêt fixes. D’autre part, deux des projets en construction d’Innergex, soit Kwoiek Creek et Northwest Stave River, ont déjà un financement de projet en place portant intérêt à un taux fixe, tandis que le troisième (Viger-Denonville) est protégé d’une hausse des taux par le biais d’instruments dérivés. En date du 31 mars 2013, 95 % des dettes de la Société comportaient un taux fixe ou étaient protégés contre une fluctuation des taux d’intérêt.

«Toutefois, la Société a présentement cinq autres projets en développement, pour lesquels aucun financement de projet n’a encore été mis en place. Comme par le passé, la Société cherchera à fixer les taux d’intérêt pour leur financement par l’entremise d’instruments financiers dérivés, et à entamer les négociations pour un financement de projet avec des prêteurs potentiels. En attendant, le taux de rendement sur ces projets pourrait être affecté par des taux d’intérêt plus élevés. Présentement, la Société estime que l’impact de la récente hausse des taux d’intérêt sur le taux de rendement des projets en développement est modeste. Les projets qui n’ont pas encore de contrat d’achat d’électricité reflèteront des hypothèses de taux d’intérêt plus élevés dans leur modélisation, auquel une hausse des taux d’intérêt est associée à la possibilité d’un prix de vente de l’électricité plus élevé», conclut Innergex.


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Une photo de la construction du socle de béton et du noyau de béton asphaltique du barrage de la Romaine-2, tirée du rapport de présentation des résultats financiers d’Hydro-Québec au 30 juin 2013 et publiée sur le site Web d’Hydro-Québec.

Hydro-Québec enregistre un résultat net en hausse pour son deuxième trimestre en 2013
Hydro-Québec a inscrit un résultat net de 464 M$ au deuxième trimestre de 2013 comparativement à 386 M$ en 2012, soit une progression de 78 M$.

Pour le semestre terminé le 30 juin 2013, le résultat net s’est élevé à 1 824 M$, en hausse de 102 M$ par rapport aux 1 722 M$ enregistrés à la même période l’an dernier. Selon Hydro-Québec, ces résultats sont attribuables principalement à une augmentation des exportations nettes d’électricité.

En guise de résultats sectoriels pour le premier semestre, Hydro écrit que le «résultat provenant des activités poursuivies d’Hydro-Québec Production s’est établi à 1 111 M$, comparativement à 928 M$ en 2012. Cette hausse de 183 M$ s’explique par une augmentation de 132 M$ des exportations nettes d’électricité. Elle provient également d’une progression de 79 M$ des revenus des ventes d’électricité à Hydro-Québec Distribution résultant principalement de l’effet des températures, qui ont été près de la normale au premier semestre 2013, alors qu’elles avaient été plus douces en 2012, et d’une hausse de la demande au Québec. De plus, les achats d’électricité effectués auprès de Rio Tinto Alcan ont diminué de 61 M$. Ces éléments ont toutefois été atténués par une augmentation de 28 M$ des redevances hydrauliques».

D’autre part, la société d’État affirme que le «résultat provenant des activités poursuivies d’Hydro-Québec TransÉnergie s’est chiffré à 292 M$, en baisse de 23 M$ par rapport à 2012. Cette diminution tient essentiellement à la variation des montants qu’Hydro-Québec est en droit de recevoir de sa clientèle ou qu’elle doit lui remettre, notamment au titre des écarts dans les revenus des services de transport d’électricité de point à point».

Quant à Hydro-Québec Distribution, cette division a enregistré un résultat provenant des activités poursuivies de 388 M$, comparativement à 471 M$ en 2012.

«Les produits des ventes d’électricité ont augmenté de 273 M$ en raison de trois principaux facteurs, soit l’effet des températures, qui ont été près de la normale au premier semestre 2013, alors qu’elles avaient été plus douces en 2012, une hausse de la demande, surtout dans le secteur résidentiel, et les ajustements tarifaires des 1ers avril 2012 et 2013. Les autres produits ont pour leur part diminué de 103 M$. Cette baisse tient essentiellement à la variation des montants qu’Hydro-Québec est en droit de recevoir de sa clientèle ou qu’elle doit lui remettre, notamment au titre des écarts de revenus liés aux aléas climatiques, compte tenu des températures douces de 2012. Par ailleurs, les achats d’électricité ont augmenté de 216 M$ en raison d’une hausse des approvisionnements effectués auprès de producteurs indépendants, pour 147 M$, et d’Hydro-Québec Production, pour 79 M$», indique encore Hydro.

«Dans le secteur Construction, le volume d’activité d’Hydro-Québec Équipement et services partagés et de la Société d’énergie de la Baie James a totalisé 1 060 M$, comparativement à 916 M$ en 2012. Les travaux menés pour le compte d’Hydro-Québec Production comprennent notamment la poursuite du projet de la rivière Romaine. Pour le compte d’Hydro-Québec TransÉnergie, les travaux en cours concernent, entre autres, l’expansion du réseau de transport en Minganie, l’ajout d’une section à 735 315 kV et la réalisation de travaux connexes au poste du Bout de l’Île ainsi que la poursuite des investissements dans la pérennité des actifs», peut-on encore lire dans un communiqué.

Investissement Hydro-Québec, quant à elle, a finalement injecté 1 802 M$ au cours des six premiers mois de 2013, comparativement à 1 614 M$ en 2012. La majeure partie de cette somme a été consacrée aux projets de développement et de croissance ainsi qu’aux activités de maintien et d’amélioration de l’entreprise comme cela était initialement prévu.


Québec injecte 2 milliards $ et attribue 800 MW pour des nouveaux projets éoliens
Québec injectera une somme de deux milliards de dollars en divers investissements pour ajouter 800 mégawatts (MW) dans quatre nouveaux projets éoliens des régions du Bas-Saint-Laurent, de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. La première ministre du Québec, Pauline Marois, a fait cette annonce en mai dernier à Matane. Cette aide financière assurera le maintien de 800 emplois du secteur manufacturier de ces trois régions et permettra au gouvernement de poursuivre le développement de la filière éolienne au Québec.

«Le gouvernement croit en l'avenir de la filière éolienne au Québec. Ce bloc générera près de 2 milliards de dollars d'investissements. Il permettra aussi de maintenir plusieurs centaines d'emplois manufacturiers en Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine et au Bas-Saint-Laurent, et ce, pour plusieurs années», a indiqué Mme Marois par voie de communiqué.

«Ce bloc de 800 MW se répartit en quatre volets : un premier 150 MW pour un projet du regroupement Mi'gmawei Mawiomi, soit les trois communautés de Listuguj, Gesgapegiag et Gespeg, un bloc de 300 MW octroyé par appel d'offres pour des projets dans les régions de la Gaspésie et du Bas-Saint-Laurent, 200 MW pour Hydro-Québec Production et, finalement, 150 MW attribués par appel d'offres pour des projets dans l'ensemble du Québec. Les appels d'offres viseront des projets initiés par des communautés locales ou des coopératives, en partenariat avec des développeurs privés», fait savoir le gouvernement du Québec.

Pour l’occasion, Pauline Marois était accompagnée de la ministre des Ressources naturelles, Martine Ouellet, du ministre délégué aux Régions et ministre responsable de la région de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Gaétan Lelièvre, et du ministre délégué au Tourisme et ministre responsable de la région du Bas-Saint-Laurent, Pascal Bérubé.

Dans ces régions, la filière éolienne assure une activité manufacturière dynamique. Au Québec, plus de 150 entreprises fournissent des services ou des composantes d'éoliennes et génèrent plus de 2000 emplois directs. Aujourd'hui, le Québec est le deuxième plus grand producteur d'énergie éolienne au Canada, après l'Ontario, avec 1 716,2 MW implantés, soit plus de 26 % du total de la puissance installée au Canada.

«L'éolien et l'hydroélectricité, c'est la meilleure complémentarité possible d'énergie verte. Le Québec veut se donner une vision à long terme pour l'éolien dans sa future politique énergétique», a déclaré, pour sa part, la ministre Ouellet.

« En continuité avec les actions que nous avons posées en 2003 pour la mise en place d'une industrie éolienne, cette annonce permet le maintien d'une industrie créatrice d'emplois qui peut maintenant appuyer son développement sur des services et des connaissances de calibre international développés chez nous. Soulignons qu'à Matane, les deux principales entreprises en éolien, Marmen et Énercon, génèrent plus de 250 emplois directs à des gens d'ici», renchérit, de son côté, le ministre Bérubé.

Ce nouvel apport de 800 MW permettra à l’industrie éolienne d’assurer sa pérennité et de consolider le secteur industriel manufacturier des trois régions jusqu’en 2024.

«À cet égard, l'horizon 2024 est déterminant. En effet, à partir de 2025, le renouvellement du parc éolien actuel va débuter», précise Pauline Marois.
Innergex et les Mi’qmaq se réjouissent

De son côté, Innergex énergie renouvelable s’est dit très satisfaite pour son partenaire dans l’un de ces projets, la Mi’qmawei Mawiomi qui constitue l’Assemblée des communautés Mi’qmaq du Québec, et qui, rappelons-le, bénéficiera de 150 MW.

«C’est un événement important pour les trois communautés Mi’gmaq, qui envisagent de grandes perspectives d’avenir. Nous avons désormais les ressources pour appuyer nos gouvernements et faire des investissements stratégiques. Il est important de savoir que nos voisins bénéficieront de ce projet également, car la majorité des revenus provenant du parc éolien seront dépensés dans la région de la Gaspésie», déclare, pour sa part, le chef Claude Jeannotte, président du conseil de la Mi’gmawei Mawiomi.

«Nous sommes heureux d’avoir été choisis par la Mi’qmawei Mawiomi pour la réalisation de ce projet», indique, quant à lui, Michel Letellier, président et chef de la direction d’Innergex.

«L’impressionnante feuille de route de la Société en matière de_ développement relève de sa volonté et sa capacité à développer des partenariats à long terme réussis. Nous croyons qu’un changement s’opère à travers le Canada, alors que les communautés locales et les Premières Nations choisissent de devenir des agents de leur propre développement socio-économique, et ceci doit se refléter dans la manière dont les projets d’énergie sont développés», ajoute-t-il.

«Nous nous réjouissons du modèle de développement choisi par le gouvernement du Québec, car nous avons aussi des projets potentiels en collaboration avec les communautés locales que nous pourrons soumettre dans le cadre des appels d’offres annoncés», conclut M. Letellier.


Le Circuit électrique fait une première percée en Gaspésie
La Ville de New Richmond et l’Hôtel Le Francis deviennent les premiers partenaires de la région de la Gaspésie à se joindre au Circuit électrique, ce grand réseau de recharge public pour véhicules électrique (VE) fondé par les Rôtisseries St-Hubert, RONA, METRO, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) et Hydro-Québec. L’annonce de la signature d’ententes de partenariat avec la Ville de New Richmond et l’Hôtel Le Francis pour le déploiement de bornes de recharge publiques a eu lieu le 14 août.

La borne de la Ville de New Richmond a été installée dans le stationnement du parc municipal situé à l’intersection du chemin Cyr et du boulevard Perron Ouest., tandis que celle de l’Hôtel Le Francis sera installée dans le stationnement de l’hôtel, au 210, chemin Pardiac, plus tard cet automne.

«L’adhésion de la Ville au Circuit électrique était pour nous une continuité naturelle suite à l’adoption par le Conseil municipal de la Politique de développement durable en septembre 2011. Depuis plusieurs années, nous nous sommes efforcés d’être à l’avant-garde dans plusieurs dossiers car notre avenir en dépend, et c’est ce que nous faisons encore aujourd’hui. Je tiens à souligner la contribution importante de nos partenaires dans ce projet, qui sont Mauger Ford, Subaru New Richmond et le Carrefour de l’auto Volkswagen Kia, sans oublier évidemment Hydro-Québec», a afirmé la mairesse de New Richmond, Nicole Appleby.

«L’hôtel Le Francis est fier d’être le premier hôtel en Gaspésie à se joindre au Circuit électrique. Nous avons toujours été soucieux de l’environnement, d’ailleurs nous avons été la première cuisine électrique en Gaspésie et ce en partenariat avec Hydro-Québec. Depuis ce temps, nous avons reçu la certification du programme RéserVert», a souligné, de son côté, Daniel Duchesneau, directeur général de l'Hôtel Le Francis.

«Nous sommes très heureux d’accueillir la Ville de New Richmond et l’Hôtel Le Francis au sein du Circuit électrique et d’ainsi poursuivre notre expansion dans l’est du Québec. Avec maintenant près de 200 bornes en service au Québec, notre réseau est en pleine croissance et nous travaillons activement à développer l’offre de recharge publique dans la péninsule gaspésienne, une région où l’intérêt envers l’électrification des transports ne se dément pas», a indiqué, pour sa part, Pierre-Luc Desgagné, vice-président – Affaires publiques et gouvernementales d’Hydro-Québec, au nom des partenaires du Circuit électrique.

Ce circuit s’avère le plus important réseau de recharge public au Québec et compte maintenant près de 200 bornes de recharge à 240 volts en service notamment dans les stationnements de l’AMT et de plusieurs magasins RONA, épiceries Metro et rôtisseries St-Hubert sur le territoire québécois.

«Depuis son inauguration en mars 2012, 45 partenaires privés et institutionnels se sont joints au Circuit électrique. Son expansion se poursuivra afin qu’il offre une plus grande couverture géographique et desserve un plus grand nombre de conducteurs de VE dans plusieurs régions du Québec», précise-t-on encore par voie de communiqué.

Le site Web du Circuit électrique, lecircuitelectrique.com, est mis à jour au fur et à mesure que de nouvelles bornes sont mises en service ou déployées.


NOUVEAUX PRODUITS

Hubbell Prescolite utilise la technologie du caloduc pour l’éclairage DEL vers le bas
Au salon Lightfair 2013 de Philadelphie, la compagnie Hubbell Lighting a fait la démonstration de ce qu’elle appelle la solution de luminaire éclairant vers le bas avec puissance de sortie la plus élevée dans l’industrie – le lumen 12 000 de Prescolite MegaLum – qui intègre la technologie du caloduc à l’intérieur de la ferrure. Pour rallonger le dispositif de la ferrure, la division Kurt Versen de Hubbell a conçu une plateforme à ferrure modulaire appelée MultiSource qui incorpore des connecteurs prêts à tourner qui acceptent une variété de technologies d’illumination. La technologie du caloduc transfert la chaleur loin du pilote de DEL à une vitesse dix fois plus rapide que les systèmes de conduction, affirme Hubbell. Le luminaire à éclairage vers le bas encastré est disponible en plusieurs configurations et compatible avec le Wi-HUBB. Le pilote de luminaire à éclairage vers le bas et le moteur lumière sont complètement accessibles dessus ou dessous le plafond pour assurer la facilité de leur entretien.
HUBBELL LIGHTING


Les nouveaux traceurs SureTrace pour identifier disjoncteurs, fusibles, court-circuits et coupures
Ideal Industries - un manufacturier et fournisseur d’outils, de connecteurs et de produits testés for les échanges électriques et de communication de données – met en marché sa nouvelle génération de traceurs avec afficheur tournant SureTrace, lesquels aident les électriciens à retracer les fils ou les câbles derrière les murs, à localiser les court-circuits et coupures et à identifier disjoncteurs et fusibles reliés à des piles/secteur sous-tension ou éteints de 0 à 600 volts (0/600 V). Les traceurs avec afficheur tournant SureTrace comptent quatre gammes définies qui permettent à ses utilisateurs de choisir leurs propre sensibilité pour un travail spécifique. Plutôt que des signaux clignotants et des bips sonores, l’appareil affiche et fournit des valeurs numériques entre 0 et 99, ainsi qu’une variété d’indications de pas/tonalité audibles en tant que rétroaction rapide d’affichage pendant que son détecteur de crête enregistre instantanément un puissant signal. Un autre avantage d’économie de temps, affirme Ideal, demeure le signal de communication combiné réglé de façon plus serrée pour réduire les faux signaux de circuits bruyants.
IDEAL INDUSTRIES


Le prototype de tube à éclairage DEL le plus efficace au monde selon Philips
Royal Philips Electronics affirme avoir créé la lampe DEL la plus énergétiquement efficace au monde et conçue pour des applications d’éclairage général (voir la vidéo ci-dessous). Les chercheurs ont développé un prototype de tube à éclairage DEL (TDEL), en remplacement de l’éclairage à tube (TL, pour l’appellation anglophone tube lighting), qui produit 200 lumens par watt (200 lm/w) de lumière blanche de haute qualité. Philips affirme que le prototype de lampe TDEL est deux fois plus efficace que les lampes précédentes, assemblées à la base sur l’énergie utilisée. Cette lampe TDEL à 200lm/w devrait être lancée sur le marché en 2015 pour des applications industrielles avant d’être ultimement utilisée à la maison.
ROYAL PHILIPS ELECTRONICS

CALENDRIER

«5 à 7» AEIQ, 28 août. L'association de l'industrie électrique du Québec organisera son «5 à 7» de la rentrée à la terrasse six de chez Hyatt, au 1255, rue Jeanne-Mance à Montréal.

Cocktail dînatoire, Electrofed, 19 septembre. L'activité automnale de l'Électro Fédération, région du Québec, un cocktail dînatoire, se déroulera sur la terrasse du toit du Palais des congrès de Montréal, de 18h00 à 21h00.

Conférence CANEW, 23 - 27 septembre. L'Association électriques des aéroports canadiens tiendra sa conférence annuelle à Campbell River en Colombie-Britannique.

Salon CanWEA 2013, 7 - 10 octobre. L'association canadienne de l'énergie éolienne tiendra son congrès annuel et son salon professionnel à Toronto.

RETScreen Institute, 11 octobre. L'atelier ICEBO 2013: Analyse des performances énergétique aura lieu à Montréal, Les places sont limitées.

Congrès annuel, CEMQ, 25 - 26 octobre. La Corporation des maîtres-électriciens du Québec tiendra son 63e congrès annuel au Hilton Lac-Leamy, à Gatineau.

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